jeudi 31 janvier 2008

Der Krieg von 1870-1871

Leitfrage(Problematik): Welche Rolle spielt der Krieg von 1870 in den deutsch-französischen Beziehungen?
  1. Die Ursachen des Krieges.
  2. Die Auswirkungen auf die deutsche Seite
  3. Die Auswirkungen aus der französischen Sicht.
version française

Einleitung:


Der Krieg von 1870 verläuft in einem Jahr (vom 19. Juli 1870 bis 28. Januar 1871) und endet mit dem unbestreitbaren Sieg der Deutschen. 1 Million Kämpfer sind im Konflikt verwickelt. 47000 Deutschen und 139000 Franzosen werden getöten in diesem Krieg, das heißt 14% der Stärke.




Hier sind die wichtigen Schlachten vorgestellt:
Die Schlacht von Wissemburg.
Die Schlacht von Reichshoffen.
Die Schlacht von Sedan.
Die Belagerung von Metz.
Die Belagerung von Belfort.
Die Belagerung von Paris.
Die Schlacht von Manz.

1) Die Ursachen des Krieges

Die deutsch-französische Rivalitäten sind die Anfänge dieses Krieges.Am Ende der acht zehnhundertsechsigen Jahre gibt es nämlich eine große frankophobe Strömung in Preußen. Der Krieg wird von vielen Politikern gewünscht. Besonders Otto von Bismarck möchte so Deutschland vereinigen und die Macht Frankreichs auf europäischer Ebene schwächen.
Was die französische Bevölkerung betrifft, so will sie keinen Krieg. Aber Napoleon III sucht mit allen Mitteln, sein Prestige zurückzugewinnen. Außerdem beobachtet er die preußische Drohung.1867 nimmt die Spannung aufgrund der Sache Luxemburgs zu. Die beiden Lager ziehen schon eine militärische Lösung in Betracht.



















Der echte Auslöser des Konfliktes ist die Emser Depesche. Infolge einer schlimmen Revolution hat Spanien seit 1868 keinen Fürst mehr. Am 3 Juli 1870 meldet Leopold von Hohenzollern Sigmaringen (Cousin der preußischen König Willhelm I) sich als Kandidat bei dem Thron, unter dem Einfluss von Bismarck. Aber bewusst von der Gefahr, die eine Allianz zwischen Preußen und Spanien verursachen würde, verlangt Napoleon III den Widerruf seiner Kandidatur. Willhelm I erfüllt den Antrag des französischen Kaisers. Aber Letzterer ist beschlossen Preußen zu erniedrigen: er fordert ebenfalls einen persönlichen Entschuldigungsbrief von dem König. Willhelm I schickt also Bismarck eine Depesche, in der er über dieses französische Gesuch spricht. Der Kanzler benutzt diese Gelegenheit, um den Franzosen auf die Nerven zu gehen. Dann veröffentlicht er einen beleidigenden Text, der die Absichten des Königs verändert. Frankreich fühlt sich beleidigt und führt (zu) überstürzt Krieg. Am 19. Juli 1870 ist der bewaffnete Konflikt los.

2) Die Auswirkungen auf die deutsche Seite

Der Krieg von 1870, der von Bismarck gewünscht worden war, hatte für Hauptziel die Vereinigung von Deutschland unter einem starken Reich. Das dritte Reich ist geboren. Willhelm I ist am 18 Juli 1871 in der „Galerie des Glaces“ von Versailles Kaiser proklamiert. Zehn Tage später wird der Waffenstillstand von Frankreich, das Elsaß und Lothringen verliert, untergeschrieben.

Deutschland beherrscht die Welt.



3) Die Folgen aus der französischen Sicht

Frankreich muss eine Kriegentschädigung Deutschland bezahlen. Nach dem Friede von Frankfurt erleben wir eine Allianz den Franzosen in der Niederlage mit. Eine andere Folge des französischen Sturzes ist die Rebellion des Volkes von Paris, das sich gegen die Nationalversammlung am 18 März 1871 auflehnt. Eine neue revolutionäre Regierung („la Commune de Paris“), die gegen den Waffenstillstand ist, wird gesch affen. Ein Bürgerkrieg fängt zwischen die Soldaten und die Aufständischen an. Sie endet mit „der blutigen Woche“ im Mai.

Das führt im Februar 1875 zu der dritten Republik.

Dieser Krieg bleibt in schrecklicher Erinnerung: die Franzosen wollen sich dafür revanchieren und so wird der erste Weltkrieg stattfinden. Wahrscheinlich wiederholt die Geschichte sich manchmal.

Es ist auch frischer Tat, dass der Krieg von 1870 ist sehr wenig gekennt : wenige Denkmäler ehren den Toten dieses Krieges. Dieser kurz und unspektakulär Krieg war durch den 2 Weltkriegen in den Schatten gestellt.


Arbeit über den Krieg von 1870, dass für den 1. Februar ist
Claude Lucas und Kevin Grandemange








Quellen:

-Artikel Wikipédia über den Krieg von 1870.
-die Website linternaute.
-die Website Encarta .
-Geschichte des Krieges von 1870.(Buch)

vendredi 25 janvier 2008

Leipzig 1813 : la bataille des nations et son souvenir- Völkerschlacht

Avant de lire les messages qui portent sur la période 1870-1945, jetons un coup d'oeil dans le rétroviseur des relations entre la France et l'Allemagne, à une époque où cette dernière n'existait pas en tant qu'Etat.


En octobre 1813, les troupes de Napoléon sont défaites à Leipzig (Saxe) par une coalition associant les Russes, les Prussiens, les Autrichiens (les Suédois et les Anglais aident au financement). Un demi-million de soldats y ont combattu, un sur cinq y a laissé la vie. Particularité souvent oubliée, les Saxons sont alliés aux Français, ce qui a pu rendre ambigüe la mémore de la bataille dans la région. La période napoléonienne contribue à la prise de conscience par les Allemands de leur destin commun.


L'idée de construire un monument commémoratif au sud de Leipzig est très vite apparue nécessaire, parmi les participants à la bataille notamment.




En 1894, le jeune architecte de Leipzig, Clemens Thieme, fonde la "Confédération patriotique allemande pour la construction d'un ouvrage à la mémoire de la bataille des nations". Des souscriptions sont lancées, des loteries organisées. La ville de Leipzig offre un terrain. Pour le projet, on préfère une architecture "archaïque", comme s'il tirait son origine de la nuit des temps. Cette ambition se basait sur la recherche d'un style typiquement allemand, de sorte qu'aucun emprunt au clacissisme, au baroque français ou à la renaissance italienne ne soit perceptible.
Les travaux commencent le 18 octobre 1895 et se poursuivent jusqu'au 13 mai 1912. Le bâtiment était prêt pour le centenaire de la bataille.


Le mémorial

"Trois devises sont à la base de l'ouvrage et doivent trouver leur conformité dans le parties principales du monu­ment. Entre les deux murs latéraux de soutènement, s'élève un relief de 60 mètres de large représentant une scène de la bataille : La statue centrale est la sculpture de Saint-Michel portant une épée de feu, assis sur un char fonçant vers le front de bataille. A ses côtés, des furies portent les tor­ches de la guerre et deux énormes aigles s'élèvent dans les cieux, annonçant la liberté remportée. Les deux têtes de Barbarossa dans les montées d'escalier, doivent rappeler la légende de l'empereur Barberousse sommeillant et exprimer l'espérance du peuple en des temps meilleurs, qui maintenant ont redémarré.

Après avoir gravi 136 marches, le visi­teur entre dans la crypte de l'édifice. Elle est conçue comme un sépulcre symbolique pour les morts au combat. Seize guerriers, têtes baissées, font une veillée funèbre. Huit masques mortuaires de presque 6 mètres de haut symbolisent la mort.


Dans la partie centrale, le dit temple de la gloire, quatre énormes statues doivent représenter de façon allégo­rique les qualités du peuple allemand pendant la guerre d'indépendance :

La bravoure

Les bras tendus comme pour faire éclater des chaines invisibles. Les muscles bandés se dessinent nettement dans l'effort violent.

La force en la foi

Sérénité et confiance rayonnent. Dans le giron de cette confiance en un meilleur avenir, se trouve la génération future. Défenseur et refuge sont ici représentés par un garçon.

La force du peuple

Deux enfants se rapprochant symboli­sent la rajeunissement perpétuel de la force du peuple.

L'offrande

Une main tendue, offrant un fruit en symbole de résultat du propre travail rappelant le verset de la bible selon lequel une main donnant ne doit pas savoir ce que l'autre fait.

Ces colosses de 9,5 mètres de haut et de 400 tonnes chacun se montrent puissants et un peu effrayants pour le spectateur. 96 statuettes d'à peine un mètre de haut ornent de plein relief les piliers principaux des fenêtres à encadrement de plomb. Elles doivent mettre en évidence le désaroi des familles des morts au com­bat ainsi que la souffrance de la guerre. 68 mètres au-dessus de la crypte se voûte le dôme fermant la partie haute de l'espace intérieur. 324 statues de cavaliers, presque grandeur nature, incarnent les vainqueurs de retour au foyer.

La couronne à l'extrémité de l'édifice représente un avertissement pour les générations à venir. Douze guerriers appuyés sur leurs épées symbolisent la détermination du peuple à défendre leur indépendance, chacune de ces 47 statues de granit étant haute de 13 mètres et pesant 200 tonnes. De la ctypte, les 364 marches de l'escalier en colimaçon mènent à la plate-forme panoramique se situant à 91 mètres de hauteur.

Tous les ans, des dizaines de milliers de personnes apprécient ce splendide panorama sur la ville."

Sur un plan strictement esthétique, le monument, comme la plupart des monuments, ne se distingue pas par sa splendeur, mais il nous semble intéressant d'étudier les motivations et les sentiments de ceux qui l'ont construit.

L'inauguration de ce mémorial en 1913 prend évidemment une signification particulière dans le contexte des relations tendues avec la France (question marocaine, loi portant le service militaire à 3 ans en 1911,...). Rappeler une défaite française en choisissant de glorifier le passé germanique permet au Kaiser Guillaume II d'utiliser le passé à des fins politiques et diplomatiques évidentes.

Le monument vu du ciel. Ma source pour cet article, une brochure en français du Stadgeschichtliches Museum de Leipzig dont voici le site. 2008 est l'année du 195ème anniversaire de la bataille et du 95ème anniversaire du monument.

vendredi 18 janvier 2008

Dates de publication des messages des élèves


- La guerre de 1870 (1er février)
- Bismarck (4 février)
- Metz, ville allemande (8 février)
- L’Autre dans les affiches de la Grande Guerre (11 février)
- Les soldats coloniaux dans la Grande Guerre la Seconde Guerre mondiale et leur image en Allemagne (12 février)
- Otto Dix : Kartenspieler (13 février)
- Les femmes dans la Grande Guerre en France et en Allemagne (15 février)
- Le 11 novembre en France et en Allemagne (15 février)
- Les monuments aux morts : une comparaison (15 février)
- L’occupation de la Ruhr par les Français (« la honte noire ») (20 février)
- L'Alsace et la Moselle annexées (1940-1944) (25 février)
- Le massacre d’Oradour sur Glane et le procès de Bordeaux (29 février)
- Les malgré-nous alsaciens et mosellans (5 mars)
- Les résistants étrangers dans la résistance en France (7 mars)
- Die Weisse Rose (14 mars)
- Le camp de Natzweiler (18 mars)

Petit rappel des critères d'évaluation :
- pertinence du contenu
- pertinence et qualité des illustrations
- liens
- clarté et lisibilité de l’ensemble

N'oubliez pas d'indiquer vos sources (livres, articles, sites internet,...). Les germanistes publieront leur message en allemand avec un lien pour la version française.

[Photo : Mitterrand et Kohl à Douaumont en 1984]

dimanche 6 janvier 2008

Bonne année ! Ein gutes neujes Jahr !


Une très bonne année à tous !

Ein gutes neujes Jahr !

Au programme cette année sur le blog à partir de la fin du mois de janvier, les messages des élèves.

Voyez la liste des sujets qui seront publiés dans l'ordre chronologique. Bon travail à tous !