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Peut-il s’agir du fait d’ériger un seul monument pour tous ?
Ou plutôt un monument pour toutes les victimes ?
Serait-il préférable que chaque groupe ait son monument spécifique ?
Chacune de ses approches possède des avantages et des inconvénients.
Les élèves, afin de clore l’unité, avaient comme consigne de donner leur propre idée sur un monument aux morts, de la développer dans un travail écrit et d’en fabriquer une maquette si possible.
« La création artistique de nos jours doit lier de façon symbiotique l’orientation vers le deuil, le bouleversement et l’hommage à une réflexion constituée de honte et de culpabilité.
Un savoir doit pouvoir s’en dégager, également pour une vie future dans la paix, la liberté, l’égalité et la tolérance. »
Voyez ici quelques uns de ce projets commentés par les élèves
Im Rahmen unseres Projekts zur Erinnerung an die ersten beiden Weltkriege haben wir verschiedene Denkmalsformen analysiert, die drei verschiedene Konzepte des Erinnerns und Gedenkens repräsentieren.
Kann es darum gehen, ein einziges Denkmal für alle zu errichten?
Oder vielleicht ein einziges Denkmal für alle Opfer?
Wäre es eventuell erstrebenswert, für jede Gruppe ein besonderes Denkmal zu schaffen?
Jedes dieser drei Konzepte besitzt Vor- und Nachteile.
Die Schüler hatten am Ende dieser Unterrichtsreihe die Aufgabe, ihre eigene Vorstellung eines Denkmals darzustellen, d.h. es zu beschreiben und, soweit möglich, einen Entwurf anzufertigen.
Sie stützten sich hierbei auf die Wettbewerbsaufgabe, die sich an Künstler richtete, die in Berlin ein Denkmal für die ermordeten Juden Europas schaffen sollten:
„Heutige künstlerische Kraft soll die Hinwendung in Trauer, Erschütterung und Achtung symbiotisch verbinden mit der Besinnung in Scham und Schuld.
Erkenntnis soll erwachsen können, auch für zukünftiges Leben in Frieden, Freiheit, Gleichheit und Toleranz.“
Einige dieser Arbeiten sollen hier veröffentlicht werden.
- Robert Steegmann, STRUTHOF, Le KL-Natzweiler et ses kommandos : une nébuleuse concentrationnaire des deux côtés du Rhin, 1941-1945 , Strasbourg,
- Boris Pahor, Pèlerin parmi les ombres , Paris, La table ronde, 1990 [Témoignage très fort d’un Slovène déporté au Struthof]
- Francis Martin, Lettre du Struthof , Colmar, Jérôme Do Bentziger Editeur, 2003 [Un fils imagine le récit de son père, maquisard vosgien déporté au Struthof, à sa femme et à ses enfants]
Le travail forcé est surveiller par les Kapos (droits communs allemands) et par des Matraqueurs accompagné d'un chien. Les déportés ne fournisant pas un travaille suffisant était privé de soupe. Meme malade ou blessé, les déportés devaient être présent au travail. Si ils étaient blessé par un chien, ils ne reçurent aucun soin.
Dessin de Henry GAYOT, déporté NN matricule 11 784
Du coté des extracteurs de blocs de granit, lorsqu'ils devaient ramener le granit au camps, au ravin de la mort, à l'aide d'une brouette, un gardien faisait des croches-pieds aux détenus affaiblit lorsqu'ils vidaient leur cargaison. Si le déporté tombait, la sentinelle SS tirait du mirador sur le malheureux, sous prétexte de « tentative d'évasion ». À chaque « opération réussie », le SS obtient des jours de congé et le Kapo complice des rations supplémentaires.
III Médecine et expérience dans le camp
Des professeurs et des médecins allemands qui étaient favorables(il faudrait trouver un autre mot) aux idées d'Hitler ont effectuée des expérimentations sur des maladies, pour améliorer des gaz de combats ou simplement pour étudier la race humaine. Bien entendu ces expérimentations sont pratiquer ou tester sur des déportés.
C'est en automne 1942 que le camp KL Na devint un centre d'expérimentation humaine. Les principaux auteurs et coupables de ces expériences médicales sont HIRT(professeur d'anatomie), HAAGEN (virologiste) et BICKENBACK (prefesseur de médecine et spécialiste de gaz de combat) de la Reichsuniversitat de Strasbourg; de l'administration SS Ahnenerbe qui siginifie " héritage de nos ancêtres".
Hirt procèda à des expériences sur l'ypérite, appelé plus couramment le gaz moutarde, et pour des idéalogie nazie voulu constituer une collection de squelettes à partir des corps des 86 Juifs déportés d'Auschwitz ; Bickenbach mèna des expérimentations sur le gaz phosgène et Haagen gràace à des expériences découvrit le vaccin contre le typhus.
Un exemple d'expérimentation:
HIRT sélectionna 30 détenus qui reçurent pendant deux semaines les rations alimentaires attribuées aux gardes SS. Puis les expériences avec le gaz toxique liquide s'engagent : le liquide est étalé sur la partie supérieure du bras ; dix heures plus tard des brûlures apparaissent sur la totalité du corps ; certains détenus deviennent aveugles ; les douleurs sont inouïes.Tous sont photographiés chaque jour, en particulier aux endroits brûlés.Une première mort intervient le 5ème ou 6ème jour, 7 autres morts suivront. Les corps sont disséqués, les poumons et les intestins sont rongés. Les survivants sont transférés dans d'autres camps après deux mois.
La chambre à gaz :
La chambre a gaz de ce camp, située à 1500 mètres de l'enceinte du camp, était surtout utilisé pour tuer des déportés dans l'intention d'expérimentation médicales. Effectivement cette pièce était petite est donc ne pouvait pas contenir beaucoup de personnes.
87 juifs et tziganes ont été choisi parmi des camp de l'Est pour servir de cobayes. Ils sont mis dans cette pièce qui est bien fermée pour qu 'il n'y est pas de fuite. Le commandant du camp Kramer peut alor procédé au gazage selon la mnière suivante :
De l'eau est introduit dans la pièce sur des cristaux cyanhydriques, déposé sur le sol avant l'arrivé des victimes, a l'aide d'un tuyau passant a travers le mur relié a un entonnoir.
La réaction immédiate provoque la mort des déportés dans d'atroces souffrances. Une fois asphyxiés, ils sont ammenés à l'Institut anatomique de Strasbourg, à la demande du professeur SS Hirt.
Cette technique, utilisé a plusieurs reprise, est comparable à l'horreur du camp d'Auschwitz.
Voici quelques photos de la découverte d'une morgue diriger par Hirt qui peuvent heurter la sensiblité de certains : cliquez ici .
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IV Témoignages
Josef Kramer, chef du camp du Struthof gaze les « cobayes » de Hirt.« Au cours du mois d’août 1943 (...) je me suis rendu à l’institut d’anatomie de Strasbourg où se trouvait Hirt. Ce dernier me déclara qu’il avait eu connaissance d’un envoi d’internés d’Auschwitz pour le Struthof. Il me précisa que ces personnes devaient être exécutées dans la chambre à gaz du Struthof à l’aide de gaz toxiques, et que leurs cadavres devaient être expédiés à l’institut d’anatomie se Strasbourg pour y être mis à disposition.
A la suite de cette conversation, il me remit un flacon de la contenance d’un quart de litre environ, contenant des sels que je crois être des sels cyanhydriques. Le professeur m’indiqua la dose approximative que je devais employer pour asphyxier moi-même les internés venus d’Auschwitz dont je viens de parler.
Au début d’août 1943, je reçus donc les 80 internés destinés à être supprimés à l’aide des gaz qui m’avaient été remis par Hirt. je commençai par faire conduire à la chambre à gaz, un certain soir vers 9 heures, à l’aide d’une camionnette, un premier groupe d’une quinzaine de femmes environ. Je déclarai à ces femmes qu’elles devaient passer par la chambre de désinfection et je leur cachais qu’elles devaient être asphyxiées. Assisté de quelques SS, je les fis complètement déshabiller et je les poussais dans la chambre à gaz alors qu’elles étaient toutes nues. Au moment où je fermais la porte, elles se mirent à hurler. J’introduisis, après avoir fermé la porte, une certaine quantité de sels dans un entonnoir placé au-dessous et à droite du regard. En même temps, je versais une certaine quantité d’eau qui, ainsi que les sels, tomba dans l’excavation située à l’intérieur de la chambre à gaz, au bas du regard. Puis je fermais l’orifice de l’entonnoir à l’aide d’un robinet... J’allumai la lumière à l’intérieur de la chambre... et j’observai ce qui se passait à l’intérieur de la chambre. Je pus constater que ces femmes continuaient à respirer environ une demi minute puis elles tombèrent à terre. Lorsque j’ouvris la porte, après avoir fait en même temps marcher le ventilateur de la cheminée d’aération, je constatais que ces femmes étaient étendues sans vie et qu’elles avaient laissé échapper leurs matières fécales.
Le lendemain, vers 5 heures 30, j’ai chargé deux infirmiers SS de transporter ces cadavres dans une camionnette, pour qu’ils soient conduits à l’institut d’anatomie, ainsi que le professeur Hirt me l’avait demandé ».
SOURCES
http://www.struthof.fr/
Die Krankenschwester ist ein typische Bild von Frauen: Sie haben weises Kleider, das bedeutet Reinheit, und sie heilen auch Körper und Seele.
Mehrere jungend Frauen wollen Krankenschwester zu sein in Krankendheit, der tausend verletz pro Tag empfangen sind.
Die Anderen helfen die Atzen die in der Front sind, sie trösten die verletz…
Ein Zum Beispiel:
Der Briefwechsel unter Mann und Frau und Mutter und Sohn erlaubt, uns über die unterschiedlichen Betrachtungsweisen des Krieges zu informieren. Die Frauen nehmen am Krieg teil aber erleben ihn auf die gleiche Weise nicht. Männer und Frauen werden also auf dieselbe Weise nicht gekennzeichnet sein.
In Amiens, Blanche die Frau von ein Arzt der in Front arbeit, hat ein verschied Sicht in vergleich zu ihn, selbst wenn der Front nicht zu weit ist.
In der Tat, man bemerkt in die Briefe dass, sie die Krach und Explosion hort, sie auch die verletz sieht aber sie weißt nicht was zu meinen, sie kann nicht wissen wie Bedingung schwer sind und wie die Gewalt ist.
In ihre Briefe sie fragen sie sich über was passiert und ihre Zukunft.
In Gegenteil ihr Mann denkt nichts, er ist erschreckt.
Andere Briefwechsel :
Organisationen haben ein system erfunden: sie wählen Frauen um Briefe zu schreiben und für die Soldaten sie sind « marraines de guerre » genannt.
3)den Wohltätigkeitverein
Die Bereitstellung der Kriegspatinnen von den karitativen Vereinen besteht so, hat, den Soldaten zu stützen. Sie schreiben Förderungsbriefe, senden Pakete den Soldaten, die sie manchmal während ihrer Erlaubnisse treffen. So hat jeder unverheiratete Soldat immer dahinter, eine "Kriegspatin".Die Kriegspatinnen haben auch für Rolle, die Kämpfer zu stützen, die keine Familien haben oder die sich in den von den Deutschen besetzten Zonen finden.
Die zahlreichen Frauen durch einen Solidaritätsschwung begründen zu " den zerbrochenen Mäulern " gehen in die Krankenhäuser als freiwillige Krankenschwester. Außerdem ist das Rote Kreuz eine sehr anwesende Organisation während des Großen Krieges. Sie auch führt Wohltätigkeitverein aus.
In den Feldern, in den Fabriken, in den Krankenhäusern, haben die Frauen seit 1914 auf die Kriegsanstrengung massenhaft geantwortet: das ist die Arbeit, die sogar freiwillig ist, die der Alltag des Familie allein leiten, die moralische Unterstützung dem Soldaten,…und auch eine Mobilisierung dahinter.
In der Kriegsperiode sind die Frauen zu oft vergessen, werden uns also ihren Mut unterstreichen, weil sie eine sehr wichtige Rolle während des Krieges 1914-18 gespielt haben. In Frankreich sind sie gerufen, vom Regierungschef, René Viviani zu arbeiten, am 7. August 1914. Der Ministerpräsident, René Viviani, der an einen kurzen Krieg denkt, richtet einen Appell an den Frauen.
« Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. Préparez-vous à leur montrer, demain, la terre cultivée, les récoltes rentrées, les champs ensemencés ! Il n'y a pas, dans ces heures graves, de labeur infime. Tout est grand qui sert le pays. Debout ! À l'action ! À l'œuvre ! Il y aura demain de la gloire pour tout le monde. »
Auf Deutsch :
" Stehend, französische Frauen, junge Kinder, Mädchen und Sohn des Vaterlandes. Ersetzen Sie auf dem Arbeitsfeld diejenigen, die auf dem Schlachtfeld sind. Bereiten Sie sich vor, ihnen, morgen, das ausgebildete kultivierte Land, die zurückgegebenen Ernten, die gesäten Felder zu zeigen! Es gibt, in diesen ernsten Stunden, keine geringe Arbeit. Alles ist groß, wer das Land bedient. Stehend! In der Handlung ! Im Werk! Es wird morgen des Ruhmes für jedermann geben. "
Der Arbeitplatz den Frauen in die Fabriken Renault von Billancourt Die meisten Frauen haben schon ein arbeit vor der Krieg. Aber sie machen ein anderen Arbeit, gleichzeitig um die mobilisierten Arbeiten zu ersetzen und um Arbeitplatz in die Bewaffnung einzunehmen. In Frankreich, wie fast überall sonst in der West,ist fast 40 % den Industriellearbeitskräfte weiblich. Im Osten, ist es in die Landwirtschaft dass der Porcent der wichtiges ist. Nach 1918, verlassen nach und nach die Frauen der Industriellesektor aber bleiben im Dienstleistungsgewerbe.
Die Mobilisation von einem Teil den Männlicharbeitkräfte hat zur Folge den Verschluss der zahlreich Firma und vielen Frauen wurden ohne Arbeit gewesen. Jedoch bereits 1915 mit der Notwendigkeit einigen Firma wieder zu öffnen um mehr Waffen zu herstellen gibt es eine Verkehrung der Situation. Es gibt ein Arbeitkraftlos. Die Lösung ist der Frauenarbeitkräfte. Der Prozentsatz der Frauen in der personal ist damals überall in Erhöhung. In die Bewaffnungsindustrie vorstellen die Frauen der Viertel der Belegschaft. April 1916 ein Komitee der Frauenarbeit ist gegründet durch Erlass der Unterstaatssekretär der der Artillerie und der Munitionen. Er rekrutiert die Arbeiterinnen, beschäftigt sich, sie nach den Rüstungsbetrieben zu versenden, und ihre Unterbringung zu organisieren. Vor allem Industrien beim Bearbeiten für die Bewaffnung, das die Frauen rufen, anspruchsvolle Benutzungen der Bildungen zu besetzen, die sie nicht besitzen. In einigen Fällen nur übt man, erfolgreich, eine Auswahl und eine vom weiblichen Personal beschleunigte Bildung, im Hinblick auf ihre Benutzung im Schliff, der Berichtigung der Erdbeeren, dem Vortrieb der Maße aus. Aber, meistens, ist um zu vermeiden, ihnen eine Bildung zu geben zu haben, die sogar schnell ist, eine Reorganisation der Arbeit, die erlaubt, sie zu laden, nur mit elementaren Operationen, organisiert. In der Herstellung der Granaten arbeiten sie über Türme, aus denen die Einstellung von den in derselben Mannschaft besetzten Männern, einem Mann gemacht ist, die überwachen und die Arbeit von etwa zehn Frauen leiten. Von jetzt an verteilen die Frauen auch die Post, beschäftigen sich mit den Verwaltungsaufgaben, führen die Straßenbahnen...
Die Frauen verkörpern oft die Republik und das Vaterland.
Die Frau ist hier in der Krankenschwester gezeigt und ihr Reinheitsbild ist gegen deutsche Sprachen benutzt, die wie "eine", gewaltsam, barbarisch und unmenschlich wären.
Auf diesen Postkarten, haben, sieht die Kinder in der Uniform und die Frauen, für die Männer in der Front und das der französischen Seite und notiert deutsche Sprache zu stricken. Viel da scheinen eben Propagandabilder zu sagen, daß die Frauen einverstanden sind, aus ihren Kindern des "Kanonenfutters" zu machen und daß sie für ihren Soldaten fleißig arbeiten.
Die Realität ist dennoch nicht genauso klar und es ist schwer, genau zu kennen, welche die Rolle der Frauen im Großen Krieg gewesen ist, ohne zu verallgemeinern oder sich auf der Propaganda zu erholen..
Auf allen diesen Postkarten haben, sieht die Frauen und ihr Trikot mit jedes Mal zurück eben ein Bild der Front: Bilder der ihrem Mann oder ihr Kind treuen Frau. Das ist ein guter Grund den Frauen gegeben, an der Kriegsanstrengung teilzunehmen.
III) Emanzipation
Wir finden oft, dass den ersten Weltkrieg eine Wende in die Frauenemanzipation repräsentiert. Wenn richtig ist dass die Französin ein neuen gesellschaftlicher Status während des Krieg haben, in der Moment des Waffenstillstand viele Sachen wie vorher wieder wenden. Um zu schätzen, warfen sie sich ergeben im Laufe des Krieges zurück, empfiehlt es sich, durch die Zählung von 1921, die Verteilung der Frauen zwischen den unterschiedlichen Berufen zu prüfen.
In den nicht industriellen Berufen sind die Folgen des Krieges in der Verdoppelung der weiblichen Bestände für die administrativen und öffentlichen Versorgungsbetriebe deutlich.
Die Frauenarbeit, die nur die landwirtschaftliche Welt berührte und das Arbeitsproletariat gewinnt das Bürgertum jetzt. Die Büros, die freien Berufe öffnen sich auf die Frauen, die, manchmal, zu Verantwortlichkeitsposten gelangen: die weibliche Bedingung fühlt sich daher geändert, die Frauenbewegung vorankommen.
Dagegen ist die Situation der Industrie unterschiedlich.1921 stellt die Deutsche 35 % der industriell Belegschaft wohingegen in Frankreich wird ihre platz in die Industrie wieder wie in 1906. Tatsächlich sieht es dass ein Teil den Frauen, die eine berufliche Tätigkeit während des Kriegs bekleidet hatte sind in ihr Heim zurückgegangen. Die Vermehrung der nachfolgenden Geburtenziffer am Ende der Feindlichkeiten hat vielleicht auf diesem Sinken der weiblichen Bestände die Arbeit gespielt. Die Staatsorgane haben auβerdem bereits das Ende den Kamphandlungen dass die meisten Frauen ihren Arbeit halten mussten. Sobald braucht man nicht mehr wirklich seine Arbeit in der Industrie, fallen ihren Löhne.
Die erkämpft Vorteilen sind also nicht dauerhaft. Der Veränderung ist oberflächlich und provisorisch.
Es gab außerdem einer Veränderung der Mentalität, die eine spätere Emanzipation vorbereitet und die, die ganze Potentielle der Frauen zeigt.
Tatsächlich zeigt der Krieg, dass die Frau einen neuen Platz in der Gesellschaft haben kann. Zeichen der weiblichen Emanzipation oder wenigstens der Mentalitätsveränderung verwandelt sich die Mode in Entre-deux-guerres: kurze Haare, die geschmeidigere Kleidung charakterisieren " Garçonne ", die von ihrer Freiheit von Allüren schockiert.
Mit dem Blickpunkt der Politik kann man nicht sagen, dass es eine Emanzipation gegeben hat, bis auf die Seite der Deutschen, die das Stimmrecht 1919 erhalten.